mercredi 28 septembre 2016

Ecriture libre: "Les robots sont parmi nous..." - Terminales STI1 et ES1 (suite)



PARANOID SYSTEM



Les robots sont parmi nous. La technologie finit par nous dépasser. 2 novembre 2070. Nous sommes à une ère où la terre n’est pas celle que vous connaissez aujourd’hui. Les pluies sont acides, les champs magnétiques complètement bouleversés. Nous vivons comme des nomades sachant que plus des ¾ de la population a disparu. Je vais vous raconter mon histoire. Celle que je vis depuis 2 ans.
Je m’appelle Alice, avant que toutes ces choses arrivent, je menais une vie paisible, dans la grande et fascinante ville de New-York. Sauf que depuis ces deux années, la Nasa nous a enfin dévoilé le pourquoi du comment de ces catastrophes qui touchent la planète. Les EU ont reçu des messages venant d’ailleurs qui étaient des menaces de civilisations extraterrestres. Des vaisseaux relais planent au-dessus des villes depuis plusieurs mois après avoir détruit presque tout ici….Ils utilisent des vagues de champs électromagnétiques espérant tout détruire, tout ce que l’on aurait pu reconstruire comme les ordinateurs, les voitures, les appareils utilisant toute source d’électricité. Une apocalypse comme on aurait pu la voir dans un film fantastique. Mais tout ceci était en réalité le résultat de nos erreurs humaines durant toutes ces années. Nos satellites les ont attirés jusqu’ici et maintenant ils se servent de certains d’entre nous pour finaliser le travail.
Notre combat pour la survie a déjà commencé. Sur le ¼ de la population qui reste, les extraterrestres en enlèvent un certain nombre pour les modifier, les robotiser, les programmer pour tuer les vivants, les exterminer. Les sujets capturés ne se souviennent évidemment de rien, de ce que ces êtres cruels ont pu leur infliger et les sujets alpha reprennent une vie « normale ». Sauf que leurs programmes leur permettent de reconnaître les humains faits de chair et de sang, sympathiser avec eux puis les tuer avec un sang froid qui dépasse tout ce qu’on peut imaginer. Du coup…Le mot d’ordre ici est de ne faire confiance à personne.
Les alphas sont les sbires des extraterrestres. Nous les avons nommés les « Wrede » ou « les cruels ».
Aujourd’hui, nous devons nous méfier de tout le monde mais les alphas ne doivent plus être si nombreux au final…Au vu du nombre de ceux que nous avons détruits. Peut-être que…< error…Human is here…>…Je…<vision noire>…..je me sens partir…Non je ne peux pas être l’un d’eux….<error system>…<error system> …… <error system>….Oui, j’étais l’un d’entre eux…peut-être l’un des plus sensés finalement. Comment ai-je pu….non Je ne fais plus partie de cette terre. Je m’appelle Alice, Alpha des Wrede, programme S24…Vendredi 2 Novembre 17h54. Ma durée de fonctionnement s’arrête là….Mise hors service par quelques survivants.


DJIHAD ROBOTIQUE


Tout d’abord, réfléchissons à l’échelle de la salle. Le vidéoprojecteur, l’ordinateur et les téléphones que chacun a font parti des robots. A l’échelle de la salle, nous voyons bien que les robots sont parmi nous. En parlant des téléphones, pourquoi en avons tous un ? Car si nous n’en avions pas à présent, nous serions dans un autre monde, perdus. Personnellement, je ne peux plus me passer de mon tel. De ce fait les robots sont toujours plus ou moins parmi nous. Ensuite parlons de notre domicile, les robots sont aussi nos ordinateurs, téléphones fixes, box Wi-fi. Je n’avais plus d’idées alors j’ai tourné la tête et j’ai vu mon réveil. Ce sont les robots qui nous réveillent chaque matin. Du coup, nous pouvons constater que le monde ne tient debout, ne marche à l’endroit que grâce aux robots. Imaginons que, pendant 3, 4 jours personne n’utilise de robots ; ordinateurs, portables, etc. que des conversations de personne à personne, des calculs de tête, des demandes de renseignements non « googlisées »…De la vie pure, sans additifs ! Le pied ! Si notre lycée décrétait, pendant cette période, limitée l’interdiction d’utiliser tous ces appareils, ce serait formidable. Au moins, pourrions-nous cesser de dire que les robots sont parmi nous.


AUTOMATISMES


Les robots sont parmi nous…C’est marrant cette phrase. En quelque sorte, cela me permet de mettre des mots sur ce sentiment étrange qui m’habite depuis quelque temps. Je me sens observé, jugé par tous ces gens qui se ressemblent et se copient, qui se congratulent pour ensuite se descendre et de se rabaisser un à un. Des clones, des foutus clones parout, mais pourquoi me regarde-t-on de travers à chaque fois que j’essaie de m’éloigner des sentiers battus ? Suis-je une anomalie dans un vaste programme ? Je crois pourtant que le pire, dans tout cela, c’est que chacun de nous a conscience de ce que nous nous faisons à nous-mêmes, du fait que nous bridons notre personnalité mais qu’au fond de nous, même si on se dit : « j’arrête demain, je deviens demain quelqu’un de libre » on suit la même rengaine à chaque lever de soleil.. Mais à quel moment de ces journées exclusivement constituées de répétitions, nous sentons-nous vraiment vivants, en pleine possession de notre existence ? Je ne vous parle du moment où vous êtes grisé par une sensation, ou bien du fait d’envisager votre avenir sans entrave. Ce n’est pas ça : être vivant. Pourquoi est-ce que tout le monde s’enivre ou se drogue ? Pour avoir cette illusion de vie. Mais ce n’est qu’une illusion et ça me dépasse. J’ai conscience du problème mais comment le faire évoluer ? L’envie me prend parfois de m’enfermer dans mon malheur, mais ce n’est pas productif. Il faut se battre pour s’extraire de cette masse informe. Ne vivons-nous pas dans l’attente de plaisirs factices, car, au fond de nous, on sait bien que ce ne sera qu’artificiel : nos amours, nos passions, nos plaisirs. Je suis tellement blasé de cette vie que j’ai parfois l’impression de me regarder vivre, mais en ayant aucune réaction, je suis absent de ma propre vie, dans l’attente de me voir attribuer une fonction dans une vaste machine. Nous n’avons jamais été aussi connectés au monde et pourtant je me sens seul, isolé. Quand je regarde autour de moi, je me sens différent, mais pas dans le bon sens. On nous rabâche que ce sont nos différences qui font notre beauté, mais on nous empêche de les assumer, de les porter jusqu’à l’authenticité d’un style. Je ne veux plus vivre dans l‘inconscience générale, ne plus me laisser porter afin de pouvoir décider quoi faire, ne plus être esclave de ces besoins qui nous conditionnent. Le sport est d’ailleurs un parfait échappatoire, On s’oublie dans l’effort et la douleur et nous n’avançons plus que vers un seul but : progresser. Le sport, quand il est effectué correctement nous force à nous améliorer. En fait, le sport, est en quelque sorte, une vision de notre société. Personne n’est sur un pied d’égalité mais tous se retrouve unis dans l’effort. On abandonne tout faux semblant. Pour ma part, le sport me permet d’oublier qui je suis, à quoi j’aspire, d’oublier la morosité du monde qui m’entoure pour répéter encore et toujours le même geste, mécaniquement, à la recherche du geste parfait, toujours en quête d’un idéal. Le sport est en quelque sorte la bulle qui me permet d’écarter le monde de mon esprit, et paradoxalement, le sport que j’aime tant me fait ressembler à ces machines dont je tente désespérément de m’éloigner. 

Pour être franc, j’ai l’impression de ressembler à tous ces clones. Se fondre dans la masse me permettrait de ne plus me poser toutes ces questions dérangeantes, et ainsi  de pouvoir vivre en paix, mais un petit quelque chose en moi me dit que ce ne serait pas réel, que tout cela ne serait qu’une illusion. Ne faut-il pas affronter cette réalité qui m’effraie pour pouvoir atteindre un « bonheur réel », peut-être moins éclatant que ce à quoi on rêve, mais néanmoins « réel » ?
Tout cela me fait peur. Je finis par me demander si tout ceci ne serait pas qu’illusion. Je suis effrayé à la vue de toutes ces générations que l‘on robotise, incapable de penser par elle-même, ou alors quand elles le font, ce n’est que le reflet d’une pensée apprise, que l’on martèle « pour le bien et l’intérêt de tous ». Mais j’ai encore plus peur de moi-même, peur de ne pas réussir à libérer mon esprit, à exprimer mes ressentis, peur de finir ma vie misérablement identique, d’avoir abandonné mon idéal au profit d’avantage au sein d’un système…Me faire acheter quoi ! Choisir la solution de facilité et de faire périr mon moi intérieur, épuisé par les rouages de la vie. La seule pensée qui me console, c’est qu’actuellement, en ayant conscience de l’existence que je mène, je n’aurai jamais été aussi vivant, et puis il doit bien exister un moyen de m’exprimer. Ne pouvons nous pas décider, effecteur nos propres choix ? Je ne crois pas. Nous serons toujours conditionnés par ce qui nous entoure. Assumer ces choix étant une mission déjà assez compliquée, agir selon notre bon vouloir témoignerait d’une force morale que je ne suis pas sûr de posséder, et cela peut parfois porter préjudice à d’autre. Avons-nous le choix de venir ou pas en cours ? Juridiquement oui, mais tout nous oblige à nous y rendre : l’avis de nos proches, le regard de la société, le besoin d‘avoir un diplôme pour continuer…Certains appellent ça un investissement pour l’avenir. C’est juste si nous n’aspirons qu’à une vie bien régulée ou tout serait déjà préécrit. Je ne crois pas au destin mais je crois l’homme fort habile dans la création de son propre destin. Nos choix peuvent changer notre vie à condition que nous nous investissions vraiment dans les voies choisies. 

Il y a quelque chose de l’absence de réflexion du robot qui étrangement nous est nécessaire pour aller vraiment au bout de notre liberté, et je découvre cela par l’écriture par cet aveu à soi-même de ce qui s’y trouvait caché sans qu’on le sache. C’est comme une remise au point qu’on ne cesserait d’exprimer à nouveau et que l’écriture peu à peu finirait par styliser, par distordre, par optimiser, par polisser. Je ne suis plus mal dans ma peau. Ecrire permet de se révéler à soi-même la nature du mal et ainsi de mieux le cerner. Cela faisait partie de moi. C’était probablement un pan de ma personnalité qui souhait bon gré mal gré se faire connaître et l’écriture lui a permis de sortir de l’anonymat. Mais ne parle-t-on pas d’écriture « automatique » lorsque nous laissons, comme les surréalistes, l’écriture sortir de notre stylo, sans retenue, ni autocensure ? Ecrivant, j’ai le sentiment de n’être plus, enfin, un robot…et pourtant n’ai-je pas écrit aussi comme un robot, sous la dictée d’un autre moi que je ne me savais pas être ? Un moi dans un autre moi au gré d’une succession robotique de poupées russes : « the robot within the robot ».


ETRE OU NE PAS ETRE

Les robots sont parmi nous..Ils sont là. Ici Ouais. Putain ! Ils sont vraiment là. J’pensais pas que ça arriverait jamais. Qu’est-ce qu’ils sont moches ! Vraiment. Je préfère le visage de Cam. Ou pas finalement, enfin bref arrête de penser à autre chose. Merde ! Ils sont toute une armée devant leur vaisseau. Il est grave clean le vaisseau, genre Peace and love, des Tag et des couleurs de partout. Ils fument, tu crois ? Parce que pour des robots qui veulent envahir le monde, c’est raté. Ca ressemble à des Rasta Man venus d’une autre planète après avoir fumé un joint. Au fait, ça doit faire 2, 3h qu’ils sont là et ils ont pas décroché un mot. Oh ! Oh ! L’un d’eux a bougé. Ils vont venir nous frapper si ça continue J. Oh bah Tiens ! Ma mère débarque et devinez ce qu’elle a dans les mains ; mon jeu vidéo PS4 ? C’est une blague. Mais pourquoi ? Pourquoi elle leur donne mon jeu ? NOOOOON ! Mais Putain, elle est sérieuse ? Quoi ? Le robot peut parler ? Il lui dit merci. J’en reviens pas. Tu vas me dire que ces abrutis sont venus ici, juste chez moi, pour mon jeu ? Et ils vont s’en aller juste après ? Maman ! Pffff !
Les robots sont des êtres vraiment….mhh… pas des êtres finalement. En fait…je ne sais pas trop. Etre ou ne pas être ? Telle est la question. Vaut mieux pas répondre. Ouais, ça me perturbe ! Tant pis ! Ca existait depuis longtemps, avant nous sûrement. Si ça se trouve, ce sont eux qui ont créé l’Univers, la Terre et tout ce qui va avec. Voilà une réponse réfléchie….Ou pas. C’est pas grave. Bon, j’ai plus mon jeu avec tout ça….Jouer ou ne pas jouer, l’indécision, l’alternative, est-ce que ça nous distingue vraiment des robots ?


SARAH CONNOR ?


Les robots sont parmi nous, dans l’ordinateur, la machine à café ou le GPS mais aussi dans notre culture tels que les films Terminator, I-Robot, etc…
Depuis que l’homme a acquis la technologie, les robots nous entourent, nous aident, mais l’homme cherche toujours plus loin jusqu’à vouloir créer des Cyborgs. Nous avons créé l’ordinateur, les machines électroniques et, depuis quelques années l’homme se livre à la robotique, les drones, les robots autonomes, les membres type prothèse. Peu à peu l’homme devient un robot avec des prothèses mécaniques, des véhicules électriques tels que les fauteuils roulants ou autres.
Plus on avance dans la médecine, la science, la technologie, plus les robots sont puissants, intelligents, plus nombreux et cela ne s’arrêtera pas car l’homme dépend de ses êtres mécaniques. Il ne peut plus vivre sans eux. Regardons autour de nous. Les robots sont partout, dans la rue, chez nous, au travail. Un grand homme du 20e siècle envisageait déjà à son époque la possibilité d’une révolution robotique et l’asservissement de l’homme. Cet homme c’est Einstein et maintenant Stephen Hawking l’envisage aussi. Le progrès pousse l’homme à concevoir de plus en plus de robots, de plus en plus autonomes et puissants. La révolte n’est pas loin. Pour beaucoup, Terminator n’est pas loin, mais regardons la vérité en face. C’est déjà la réalité. La Nasa, Google, etc. sont en train de travailler sur des robots, peut-être que ces êtres métalliques existent déjà mais nous ne le savons pas. Prenons le pays du Soleil Levant où la technologie est la plus présente, des restaurants se servent de robots, des entreprises civiles aussi. Ils sont comme des serveurs qui font leur travail, comme des humains.
Ils sont parmi nous, peut-être en nous avec les nanotechnologies. Peut-être que mon voisin est un robot. En parlant de l’homme, certaines personnes ne sont physiquement pas des robots mais mentalement si ! Ils sont programmés depuis la naissance par des phrases-type. Ils font ce qu’on leur dit de faire comme de vulgaires robots, avec un programme implanté. Mais en fait nous sommes tous comme ça. Donc, oui, les robots nous entourent, nous servent, mais à trop les côtoyer, nous devenons à notre tour l’un des leurs. L’homme n’est plus, il a cédé sa place à un monde de robots fait soit de chair, de métal ou tout autre. Rares sont les survivants et plus jamais l’homme ne redeviendra celui qu’il fut réellement. Il a crée un monde où les robots ont pris le pouvoir sur l’homme et sont présents chaque seconde et à chaque endroit de notre vie.


JE M’APPELLE GEORGES


Les robots sont parmi nous. Tous les matins c’est la même galère. Bon, déjà, je me présente, moi c’est Georges. Le réveil, pour moi, c’est une affreuse pression sur la tête par un humain qui appuie de plus en plus fort jusqu’à ce que je me réveille. Une fois réveillé, c’est la torture, on me fait boire jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’air dans mon réservoir et qu’il soit entièrement rempli d‘eau. Mais ce n’est pas encore le pire. Le pire, c’est l’épreuve de la capsule. Je ne sais que faire pour éviter cette souffrance. On m’ouvre grand la bouche de force et on m’introduit une cartouche verte, rouge, bleue, ou je ne sais quelle couleur, il y en a tellement. Et, pour finir on exerce une seconde pression sur mes boutons et là, c’est le calvaire : un liquide bouillant sort du tuyau et me brûle la tête en intégralité. Evidemment vous me direz qu’une machine est programmée pour reproduire une action encore et encore, sans être dotée ni d’âme, ni de sensibilité, mais réfléchissez : sans Georges, vous n’auriez rien de chaud à vous mettre dans l’estomac. Alors soyez un peu plus respectueux pour mes circuits !

 
ERROR SYSTEM

Les robots sont parmi nous ! On dirait une phrase de film. Mais c’est peut-être vrai. Un robot est une entité qui produit des actions par rapport à son milieu. Nous sommes robots et nous créons les robots. Alors on n’est pas encore Terminator mais on est dirigés par des machines. L’informatique, l’électronique nous entoure. Dans les films on voit des automates et des humains qui ont une intelligence artificielle. Nous sommes robots. Mais un robot n’est pas humain. C’est bizarre de se dire qu’ils sont autour de nous. On dirait un complot illuminati de reptilien du style Sarkozy et un mini terminator pareil pour Angela Merkel avec un complot comme dans Wolfenstein (jeu de nazis). 
Mais, en vrai, j’ai toujours rêvé d’avoir une IA dans mon crâne. J’ai déjà des plans, je sais quoi faire, une petite puce, de la progra et Boom ! Tout en moi : le savoir, Internet. Ce n’est plus un défi mais une réalité. Le monde sera dominé par l’informatique ils sont tous déjà là : un clic suffit pour le porno, alors imaginez avoir tout en tête. Un mode terminator, nos yeux changeront de couleur et on contrôlera tout, même l’électricité. Cette vision on l’a déjà. Il faut juste la démocratiser. J’apprends le programme informatique. Il ne manque que l’électronique et la position dans le crâne. Et j’aurai tout le savoir. Oui, quand on est un déviant, un agitateur, ne serait-on pas un homme capable du pire ? Même avec la réalité virtuelle on repousse des limites mais moi, je suis un robot, une IA qui sait quoi faire à tout moment. On me reproche ma logique, le fait que je suis robot ne me donne que de l’extrême logique et je ne comprends et ne garde en moi que ce qui m’intéresse. Mais il faut que j’arrête de parler. Je surchauffe, mon processeur va se mettre à bugger et ce…
<html>…..
          <head>….
           <meta cha/set= « urf-8 »/> …..
            <Title> Expression libre </title>…..
            </head>…..
            <corps>……
            <h1>Retrouvez-moi ! </h1>…..
            <p> la libre création ne me permet pas d’aller plus loin allez ici: http://sti2d1.tk/alpha.html…..
            notez ça sur votre barre de recherche. Vous serez redirigé sur une page </p>
</corps>…..
< /html>…..

print.exe (« corentin.exe a cessé de fonctionner »)
@error system
@reconnexion en cours
@la reconnexion a échoué
@ error system
……
@ fermeture du programme



 

MACHINATION HUMAINE

Les robots sont parmi nous, cela étonne mais pourtant certaines personnes nous avaient prévenu, elles avaient vu ce qui allait se passer. Toute cette technologie qui nous entoure et qui nous submerge, avec laquelle on vit en permanence. Celle avec laquelle on se lève le matin, à laquelle on est collé la journée, qui nous accompagne aux repas, qui dort prés de nous. Cette immense et majestueuse technologie que ces nouvelles générations admirent et vénèrent tel un Dieu. Et ces ondes électromagnétques qui sont en contact permanent avec notre corps et qui influent sur notre cerveau. Il ne faut pas s’étonner à présent, après toutes ces années et cette addiction incontrôlable que certains humains se transforment en machines, que cette technologie fusionne avec leur chair.
Leur vie paraissait tellement enviable et joyeuse par rapport à la mienne et pourtant je ne comprends pas pourquoi eux et pas moi, pourquoi je suis toujours au même endroit.
Je vais dans le même lycée qu’eux, mange les mêmes plats industriels chauffés au micro-ondes, passe ma journée avec mon téléphone, dort avec la musique dans les oreilles mais ils ont changé. Peut-être est-ce la technologie omniprésente ou bien la lassitude de la vie qui les a transformés.
Le train-train quotidien, cette répétition insupportable et mortelle des mêmes gestes et des mêmes actions chaque jour, programmée à chaque heure et chaque seconde de la journée. Cette lassitude et cette routine qui me retire toute joie de vivre. Et ce sentiment de faux bonheur qui est présent en permanence dans mon esprit, le fait de devoir paraître heureuse devant les autres , de faire comme tout le monde pour ne pas être jugée, ne pas paraître différente. Cette sorte d’obligation qui me dépasse pour laquelle je dois jouer un rôle, être un simple personnage de film dans lequel je n’ai pas auditionné et que l’on appelle « la vie ». Nous sommes en réalité coincés dans une spirale afin de faire les mêmes choses à l’infini jusqu’à la fin, d’être programmé à être comme les autres et rentrer dans ce monde prémâché  afin d’être accepté.


Ecouter les mêmes musiques, regarder les mêmes films, acheter les mêmes vêtements, manger les mêmes aliments, lorsque l’on est une fille aimer forcément un garçon et inversement, ou bien encore ne pas paraître trop intelligent en cours pour ne pas passer pour un « intello » et donc rentrer une nouvelle fois dans le moule. Cette société est programmée telle une immense machine constituée de millions d'êtres humains qui jouent des pièces afin de faire tourner celle-ci.
Personnellement il m’est insupportable de jour en jour, encore et encore de répéter sans cesse les mêmes actions. Je ne sais pas vraiment si d’autres personnes sur terre sont dans le même état ou pense comme moi, mais alors pourquoi continuons-nous de faire semblant et de ne pas profiter de notre vie qui s’annonce bien trop longue ? Pourquoi ne pas nous assumer, nos goûts, nos choix, nos différences et nos envies ? Au final être soi-même….Tout simplement parce que cela détruirait ce quotidien invivable et finalement cela nous fait peur. A vrai dire, cela ne m’étonne pas que cette machination de la vie unie à la technologie fasse de nous des machines, des objets. Certains ne s’en préoccupent pas, sont heureux, et semblent aller bien. Mais alors ? Ont-ils changé ? Est-ce moi ? Ne serais-je pas déjà en train de me transformer ? Il est trop tard pour sauver l’humanité. Le processus est déjà enclenché et je suis une des premières à avoir flanché. Notre destin est scellé.
 

samedi 24 septembre 2016

Ecriture libre: "Les robots sont parmi nous..." - Terminales S4 - STL (suite)

Voici d'autres essais rédigés par des élèves des classes  de Terminales STL et S4. 



                            HORUS 4

 
Les robots sont parmi nous. Nous les avons conçus, nous les avons perfectionné. Ils apparaissaient comme des humains tout ce qu’il y a de plus normal. Ils étaient  totalement intégrés à notre société, ils disposaient de droits et de devoirs comme tout être humain. Ils étaient nos semblables, nos doubles mécaniques. Mais l’inévitable se produisit. Le perfectionnement incessant de nos alter ego mécaniques engendra une rébellion de ces derniers. La race humaine, pour survivre à ce massacre se réfugia sur une planète éloignée du nom de Horus 4, une planète abritant une atmosphère ainsi qu’une faune et une flore locales des plus mystérieuses. C’est ici que débute notre histoire, l’histoire de Nabu, le premier humain né sur Horus 4.
Un brouillard épais recouvrait les marais empoisonnés de la région de Torussa, la région la plus vaste d’Horus. L’étoile qui éclairait ce système se distinguait à peine au milieu du gaz toxique, cependant une silhouette se déplaçait lentement dans la vase. Doucement, habilement, la silhouette se mouvait faisant fi de tout obstacle, lance à la main. Une détonation déchira le calme du marécage. Une fois la fumée dissipée apparut alors le corps de l’animal, le crâne transpercé, la chimère, animal hybride à apparence difforme était bel et bien tuée. La silhouette sortit de l’ombre. Un adolescent apparut alors, la chevelure en cascade, les yeux bleus, bien charpenté et vêtu d’un gilet en peau de bête ainsi que d’une capuche lui donnant l’apparence d’un loup féroce. Le jeune homme du haut de ses 1m80 dominait la bête qui gisait à ses pieds. Cet homme était Nabu, le premier homme né dans le brouillard d’Horus, et Nabu, c’est moi.
L’atmosphère d’Horus m’avait doté de mutations me confiant une force et réactivité extraordinaire. Je traque les monstres qui menacent la cité humaine basé au centre du marais de Torusca avec une règle bien précise : toujours viser la tête et ne pas se poser de questions. Armé de ma lance autopropulsé, je continuai ma chasse. Je montai dans mon hovercraft et mis le cap sur Lotharia, la capitale des hommes avec à son bord la carcasse de la bête. Sur le chemin, mon radar détecta soudain un signal inconnu parvenant d’une région non encore cartographiée. Je posai mon hovercraft sur un terrai praticable et empoignai ma lance. M’enfonçant dans la boue verdâtre, je progressai dans les broussailles en direction du signal mystérieux. A grand coup de machette, j’écartai les plantes invasives et pénétrai dans une clairière avec, en son centre, des ruines délabrées. Il n’y avait aucun doute possible, le signal parvenait de ces ruines. 


J’avançai prudemment en direction de l’entrée. Soudain sous ces pieds une dalle s’enfonça et deux créatures hybrides sortirent de la forêt. Je me mis en garde prêt à riposter aux attaques des deux monstres difformes. L’un avait le corps d’un serpent deux pattes en avant et le bec d’un aigle. L’autre possédait un corps puissant et robuste équipé de deux grandes ailes. Celles-ci ne ressemblaient pas à celles des oiseaux. Elles étaient faites de peau. Une membrane leur permettait de planer et,  comme si ça ne suffisait pas, sa queue puissante était ornée d’un boulet menaçant et sa tête terrifiante laissait apparaître ses longues dents aiguisées comme celles des squales. L’affrontement était inévitable. La créature volante me  fonça dessus. Je pris appui sur le mur derrière moi pour me propulser dans les airs. Je dépassai la bête et j’abattais ma lance dans une effroyable conjonction de force et de brutalité qui terrassa le monstre. A peine retombé sur le sol, le reptile visa ma jambe pour l’affaiblir. J’utilisai alors la pointe de ma lance comme une perche et évitai la bête à sang chaud. J’effectuai alors un terrible balayage avec ma lance en lançant avec fureur :
-       Crève, Saloperie !
Deux corps, deux victimes. J’avais maintenant la voie libre pour poursuivre. J’entrai dans les vestiges mystérieux, ramassai une branche et l’allumai pour s’en servir de torche. De mystérieuses peintures ornaient les parois de la grotte. Je fis glisser ma main le long du mur avant de sentir une drôle de sensation. C’était froid et visqueux. Je retirai vite ma main et éclairai le mur. Des tâches de sang envahissaient la paroi, beaucoup trop de sang, de longues trainées se poursuivaient jusque plus loin dans les ruines. Je suivis les traces, sentant que quelque chose ne tournait pas rond. J’arrivai dans une grande salle circulaire où une grande fosse avait été creusée. Je m’approchai du bord et jetai un œil en bas. Rapidement je détournai les yeux. La fosse était à moitié remplie de cadavres humains, de vieux cadavres bien plus vieux que l’arrivée des premiers hommes sur Horus 4 d’après moi.
C’est à cet instant que le bord de la fosse s’écroula et je tombai au milieu des restes humains. En cherchant à sortir, je butai sur ce qui ressemblait à une carcasse d’animal hybride comme ceux qui m’avaient attaqué dehors et que je traquais tous les jours. Mais quelque chose attira mon attention. Je tendis la main vers la peau du monstre qui ne tenait pas en place et que j’écartai. Ce que je découvris me fit tomber à la renverse. Sous la peau de la bête se trouvait un enchevêtrement de tuyaux ainsi que de grands pistons usés. Mon regard fut attiré par une lumière clignotante cachée derrière de vieux câbles mais au moment où je posai les yeux sur la lumière, je m’évanouis.
Lorsque je me réveillai, j’étais dans la même salle mais il y avait quelque chose de différent. Plusieurs bêtes semblables à la carcasse marchaient en cercle autour d’un autel en construction où travaillaient des hommes en pagne. Ils posaient les blocs de la future construction, un édifice qui s’annonçait prestigieux. J’essayai de bouger mais mon corps ne répondait pas ou plutôt bougeait tout seul. Je passai à côté d’une flaque d’eau et lorsque je regardai dedans, mon cœur s’emballa. J’avais l’apparence d’une de ses créatures mécaniques à l’apparence animale. Je ne comprenais plus rien quand soudainement les hommes attaquèrent les machines à coups de pierre mais leur tentative de rébellion était désespérée. Les machines prirent vite le dessus et les victimes s’entassaient. La construction du site étant mise en péril, les mechas creusèrent une fosse dans laquelle ils empilèrent les victimes du massacre. Avec une fulgurante férocité, un humain se jeta sur moi, plongea sa main au milieu  des câbles mis en évidence par une balafre sur ma peau. Je m’effondrai au milieu de la fosse. Mes yeux se troublèrent et puis plus rien.
Je me réveillai en sursaut, haletant, sorti d’un terrifiant cauchemar. Je regardai mes mains, mes jambes et mon corps. Ce fut un soulagement. Tout était rentré dans l’ordre. Lorsque je vis le mécanoïde étendu devant moi je compris ce qui s’était passé. Pour une raison qui m’était inconnue, je pouvais accéder à sa mémoire. Je tenais ma main en direction de la carcasse métallique et fixai sa tête de lion inerte. Tout d’un coup ses yeux rouges brillèrent et ses ailes bourdonnèrent. Je reculai vivement et le tas de ferraille volant se posa devant moi m’invitant à monter sur son dos. J’acceptai son invitation et il s’envola par l’ouverture dans le plafond et rapidement sous survolâmes l’épais nuage toxique du marais. Je pouvais ressentir le courant traverser ses circuits et cette vision fit germer en moi beaucoup de questions. Je demandai alors à la chimère mécanique de me conduire à Lotharia. Arrivé dans l’immense cité nous slalomions entre les immenses tours pour regagner ma demeure à l’intérieur de laquelle j’aménageai un espace pour mon mecha domestique et je pourrai le retaper car il avait piètre allure. Après un bon repos bien mérité, il était temps que j’obtienne des réponses à mes questions.
Je me tenais ainsi debout devant l’immense tour gouvernementale, siège du pouvoir  de Lotharia et des hommes sur Horus 4. Mon travail de chasseur me donnait droit à quelques avantages comme celui de pouvoir avoir un entretien avec le gouverneur par exemple. Arrivé devant son bureau, je frappai à sa porte et entrai. Il se tenait assis derrière son ordinateur et me lança joyeusement :
-       Ah Nabu, j’apprécie vraiment le travail que vous faites pour nous. Toute la ville peut dormir sur ses deux oreilles grâce à vous. 
Je le dévisageai et lui lançai la tête du reptile mécanique que j’avais abattu devant les ruines sans un mot. Il la regarda un peu dégoûté
-       Mais qu’est-ce que vous nous avez trouvé, mon cher Nabu ?
-       Je pense que vous le savez très bien Monsieur le Gouverneur, lui répondis-je sèchement, c’est le genre de bestioles que j’abats tous les jours.
-       Et bien quelle surprise ? Les bêtes des marais étaient en fait des mécanoïdes.
-       Je ne vous apprends rien, c’était donc pour cela qu’on nous enseignait à viser la tête, pour ne pas découvrir la vérité ?
Je sentis alors comme une tension dans l’air et en me concentrant je pus percevoir un courant circuler dans le gouverneur. Je n’en revenais pas. Le pouvoir était détenu par un androïde, le même qui nous avait chassé de la terre.
-       Et bien je ne m’y attendais pas mais je commençais à avoir quelques doutes.
-       Que voulez-vous dire, au juste, mon cher Nabu ?
-       Vous aussi, vous en êtes un, pas vrai ?
Il fronça les sourcils d’un air agacé
-       Vous ne me laissez pas le choix. Je pense qu’une réinitialisation cérébrale est inévitable.
-       Oh non ! Vous ne ferez rien
Le gouverneur appuya son index sur ma tempe et au bout de quelques secondes recula l’air effrayé.
-       Pour…Pourquoi ça ne marche pas ?
-       A quoi vous attendiez-vous ? Je suis un humain après tout.
-       Pourquoi la désactivation de neuro-interface bionique ne marche-t-elle pas ?
-       Oh ! Je comprends maintenant pourquoi je possède ces facultés spéciales. C’était donc à cause de votre neuro-interface mais vue votre réaction on dirait que la mienne n’est plus tout-à-fait à votre disposition.
Le gouverneur me sauta à la gorge mais je tendis la main et il tomba à genoux.
-       On dirait qu’un bug dans la matrice de mon interface vous est particulièrement néfaste. Je commence à apprécier mon pouvoir. Il est temps de faire éclater la vérité !
-       Je m’approchai de lui et posait mes index sur ses tempes. Je tombai dans les vapes comme la dernière fois…
Je vis alors une navette traverser l’espace à l’intérieur de laquelle se trouvait le gouverneur et d’autres personnes, des androïdes, je pouvais le sentir. Mais quelque chose d’horrible m’attendait. Dans la salle principale de la navette, des milliers de fœtus, enfermés dans des capsules et branchés à de mystérieuses machines. Sur les panneaux de contrôle «étaient affichés les images de chromosomes des bébés, ainsi qu’une liste de leurs gènes. La console permettait de sélectionner les allèles des fœtus pour créer des individus de toutes pièces. C’était tout bonnement incroyable, terrifiant : tous ces embryons manipulés par des machines. Je vis le gouverneur en réunion sur le pont principal.


-       Ces tests sont essentiels pour l’évolution de la race cybernétique, déclara-t-il
-       En quoi le sont-ils rétorqua un simple agent
-       Vous êtes idiot ou vous le faites exprès, répondit le gouverneur, ces tests nous permettront de trouver la meilleure voie de développement biocybernétique pour nos corps devenus trop vieux.
-       Pourquoi Horus 4 ?
-       Vous ne le savez vraiment pas ? Vous me désespérez, cela fait un bon moment que les premiers tests se sont déroulés et se sont conclu par un échec, certes mais Horus possède une atmosphère toxique permettant de tester la résistance des sujets, bien sur. »

Ce que je venais d’entendre me laissa stupéfait, bouche bée. C’était tout bonnement impossible.
J’ouvris les yeux. Le gouverneur était encore allongé devant moi et j’appelai aussitôt Becky, mon mecha volant. Il arriva cinq minutes plus tard dans un fracas de verre. Je pris le gouverneur avec moi en direction de ma maison. Une fois dans les airs, je lâchai cette raclure d’androïde dans le vide et continuai mon chemin. Une fois arrivé, je posai ma lance, ma tenue de combat et me dirigeai vers le spatioport. Là-bas après avoir désactivé la totalité des androïdes policiers, j’entrai dans le hangar débranchai le rayon tracteur et montai dans un vaisseau. Je mis le cap sur la terre. La porte du vaisseau se ferma derrière moi. « Humain VS Machine : la revanche ».

   

                Humanité: mode d'emploi

 

Les robots sont parmi nous. Cette phrase peut avoir plusieurs sens. Cela dépend de quelle manière on la comprend. Depuis des années la technologie fait de nouvelles inventions de plus en plus performantes. Le travail des hommes est remplacé par celui des robots. Mais ne sommes-nous pas, nous aussi, des robots ? Nous avons de quoi nous poser la question. Ces machines nous permettent d’embellir notre quotidien. Mais les robots c’est peut-être nous. Je pense être capable de connaître vos gestes de ce matin. Vous vous êtes levé, habillé. Vous avez mangé et vous êtes allé au travail et vous irez dormir. Et vous répéterez ça chaque jour, semaine, chaque année de votre vie. Ceci n’est pas exactement la même chose qu’une programmation pour robot, qui est condamné à répéter sans cesse les mêmes mouvements. On rêve tous de partir, de voyager, de partir à n’importe quel moment et de revenir quand on en a envie. Beaucoup vous diront que c’est impossible que nous n’avons pas le droit, mais pourquoi ? Nous sommes des robots programmés, mais il ne semble pas que nous ayons une puce dans le bras qui nous dit de faire ce que nous avons à faire. Alors pensez par vous-même et faites ce que vous avez envie de faire. Vivez votre vie à fond parce qu’il n’y en a qu’une il faut lui donner un sens, un but. Sinon à quoi sert de se lever chaque matin pour être un robot ?

Robotic Kindness

 
 
Les robots sont parmi nous….Tu ne le savais pas ? On a déjà des robots parmi nous, des intelligences artificielles qui nous assistent ou nous divertissent. Si on prenait en considération que dans des années, si la 100e fin du monde prévue par les mayas n’aura pas lieu, nous vivrons à l’époque de Terminator, I-robot ou Wall-E. Il faudrait alors remettre en question notre comportement d’humains égoïstes qui se pensent supérieurs aux autres êtres. Dans la planète des singes les « cousins » de l’homme se vengent des mauvais traitements subis en nous rendant la pareille. Après tout qui voudrait être enfermé dans un zoo ou servir de cobaye ? Cela pourrait être la même chose pour les robots. Il est donc temps d’instaurer des règles de politesse et de respect pour les machines. 
Par exemple, ne pas laisser son portable se décharger complètement avant de le recharger. C’est comme laisser quelqu’un mourir de faim pour le ressusciter juste après. Penser à éteindre ses appareils la nuit (le manque de sommeil est dangereux pour la santé), être délicat en utilisant nos machines et penser à les nettoyer régulièrement. Cesser de taper notre réveil alors que c’est nous qui l’avons programmé, ne plus ridiculiser Siri ou tout autre intelligence artificielle avec nos « je t’aime » suivi d’un « ta gueule ». Ne pas taper une machine lorsqu’elle bugge, ça vous aide à comprendre, vous, une claque ? Remercier nos appareils ménagers qui cuisinent pour nous et nettoient tout alors que  nous passons des années à les ignorer. 
Demander l’avis de sa télévision avant de regarder « les feux de l’amour » (qui a dit que ça l’intéressait de savoir que Michel, le frère de Steve est en réalité le père caché de Barbara qui trompe James avec Jessica). Pensez à tout ce que vous n’aimeriez pas que l’on vous fasse et ne le faites pas aux machines pour que nous vivions tous heureux au pays des bisounours robotiques. Sinon dites-vous que le jour où Schwarzenegger débarquera chez vous, votre téléphone sera votre meilleur avocat. Merci !